- EAN13
- 9782764640852
- Éditeur
- Éditions du Boréal
- Date de publication
- 03/2011
- Collection
- Fiction
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
« On peut comprendre une chose en un seul instant, mais on la perd dans les
longues heures qui suivent avec leurs semelles de plomb », écrit Oscar Wilde,
enfermé dans sa prison. C’est de ce « seul instant » qu’il sera question dans
ces pages. Pour ce qui est des « semelles de plomb » — la prison —, chacun
sait à quoi s’en tenir. Mais qu’en est-il de cet instant qui oblige à sortir
de soi, de cette courte illumination qui fait s’ouvrir l’œil, frissonner la
nuque, trembler nos certitudes et nous amène à douter de notre âge ? On a de
nouveau sept ans et le monde redevient une énigme merveilleuse. » - R .L.
Robert Lalonde nous entraîne dans sa campagne l’espace de tout un été. Il nous
ouvre les portes du laboratoire de l’écriture, nous fait témoins de
l’opération alchimique qui se déroule entre l’œil et le cœur de l’écrivain,
entre la nature et les livres se répondant sans cesse. Grâce à son regard
aiguisé, à son écriture vive et diaphane, il nous donne à voir ces
correspondances dont parle Baudelaire, et qui sont le souffle même de la vie.
longues heures qui suivent avec leurs semelles de plomb », écrit Oscar Wilde,
enfermé dans sa prison. C’est de ce « seul instant » qu’il sera question dans
ces pages. Pour ce qui est des « semelles de plomb » — la prison —, chacun
sait à quoi s’en tenir. Mais qu’en est-il de cet instant qui oblige à sortir
de soi, de cette courte illumination qui fait s’ouvrir l’œil, frissonner la
nuque, trembler nos certitudes et nous amène à douter de notre âge ? On a de
nouveau sept ans et le monde redevient une énigme merveilleuse. » - R .L.
Robert Lalonde nous entraîne dans sa campagne l’espace de tout un été. Il nous
ouvre les portes du laboratoire de l’écriture, nous fait témoins de
l’opération alchimique qui se déroule entre l’œil et le cœur de l’écrivain,
entre la nature et les livres se répondant sans cesse. Grâce à son regard
aiguisé, à son écriture vive et diaphane, il nous donne à voir ces
correspondances dont parle Baudelaire, et qui sont le souffle même de la vie.
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