- EAN13
- 9782809813678
- Éditeur
- Archipel
- Date de publication
- 12/2013
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782809813678
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
14.99
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-
Papier - Archipel 19,95
L'Amérique a eu toutes sortes de présidents, mais elle n'a eu qu'un roi.
Héritier de deux familles irlandaises parmi les plus puissantes de Boston,
John Fitzgerald Kennedy a été, jusqu'au jour de son assassinat, un personnage
construit par son entourage.Désigné par son père pour accomplir son propre
destin présidentiel raté, après la mort tragique du frère aîné qui devait
prendre la relève, John a été le premier homme politique inventé par le
nouveau média dominant de l'après-guerre, la télévision, et façonné par le
marketing.Après sa mort, sa légende a été soigneusement entretenue par une
censure puissamment organisée par sa famille, puis véhiculée par les
historiens. Pourtant, les maladies qui le rongeaient depuis l'enfance, son
obsession des femmes, ses relations dangereuses, les errements de sa pensée
politique, les ressorts de son accession au pouvoir, représentent tout ce que
l'Amérique déteste : la dissimulation, le parjure, la trahison, la
corruption.Cinquante ans après sa mort, le mystère le mieux caché de l'icône
des Américains ne réside pas dans son assassinat, mais dans une existence
totalement occultée par le mythe.
Héritier de deux familles irlandaises parmi les plus puissantes de Boston,
John Fitzgerald Kennedy a été, jusqu'au jour de son assassinat, un personnage
construit par son entourage.Désigné par son père pour accomplir son propre
destin présidentiel raté, après la mort tragique du frère aîné qui devait
prendre la relève, John a été le premier homme politique inventé par le
nouveau média dominant de l'après-guerre, la télévision, et façonné par le
marketing.Après sa mort, sa légende a été soigneusement entretenue par une
censure puissamment organisée par sa famille, puis véhiculée par les
historiens. Pourtant, les maladies qui le rongeaient depuis l'enfance, son
obsession des femmes, ses relations dangereuses, les errements de sa pensée
politique, les ressorts de son accession au pouvoir, représentent tout ce que
l'Amérique déteste : la dissimulation, le parjure, la trahison, la
corruption.Cinquante ans après sa mort, le mystère le mieux caché de l'icône
des Américains ne réside pas dans son assassinat, mais dans une existence
totalement occultée par le mythe.
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