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Les hommes passent, le mal demeure...
Paris, années 1960. il ne fait pas encore jour et les ombres dansent dans Paris, au son de quelques notes de jazz...Le cadavre d'une jeune femme est découvert au bord de la voie ferrée. Philippe Marlin, pas encore remis du décès de sa femme, mène l'enquête. Dans une atmosphère crépusculaire, les individus les plus dangereux sont recouverts d’un vernis de respectabilité, les autoroutes nouvellement créées balafrent les campagnes dans une promesse de modernité, et les derniers feux du gaullisme brillent à travers les actes contestables du Service d’Action Civique. Avec ce roman très noir Xavier Boissel organise d’une écriture élégante la parfaite cohabitation de deux univers : il y a celui, désespéré et imagé, de son personnage à qui viennent des phrases dont on ne sait si elles sont rêvées ou si elles sont tirées d’un refrain d’une chanson de jazz, et puis il y a la réalité de l’enquête, qui avance implacablement, ancrée dans la géographie parisienne et dans le contexte de la fin d’une époque. C’est une passionnante intrigue, une plongée hypnotique au cœur de la décennie où se croisent vétérans désenchantés et jeunesse politisée, tandis que « le mal que font les hommes vit après eux ; le bien est souvent enseveli avec leurs cendres ».