EAN13
3663322100680
Éditeur
SOCIALTER
Date de publication
Nombre de pages
100
Dimensions
28 x 21 x 0,4 cm
Poids
256 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Socialter N°31 Pas de quartier pour les prolos - octobre/novembre 2018

Socialter

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Pas de quartier pour les prolos ! Enquête sur la gentrification des villes. Paris sans le peuple. Pourquoi même les bobos quittent Paris. Les prix de l'immobilier parisien atteignent des niveaux tels que même les cadres en viennent à quitter la capitale. Une gentrification extrême qui révèle les failles du marché. Passage à l'acte. Petit manuel de gentrification (à l'usage de ceux qui résistent) Le gentrification ne s'est pas faite en un jour. De la friche hipster au ghetto bourgeois, le phénomène - qui concentre une foule de variables et d'acteurs à chaque étape - est toujours progressif. QUARTIER GLOBAL Comment les métropoles se font brooklyniser De Montréal à Londres, Paris ou New York, la gentrification est devenue le concept fourre-tout pour évoquer l'embourgeoisement spectaculaire des quartiers populaires des villes occidentales. Entre uniformisation culturelle, exclusion des classes les plus modestes et abandon des pouvoirs publics, retour sur un phénomène qui se globalise. MARSEILLE L'INDOMPTABLE Des ambiances populaires et authentiques, des événements culturels toute l'année, une ville cosmopolite, des loyers parmi les plus bas des grandes villes françaises et un climat idéal : sur le papier, Marseille devrait être le futur hot spot de la gentrification. Mais son incapacité à créer des emplois limite ses espoirs de fixer les classes moyennes et créatives qu'elle attire. POLITIQUES ANTI-GENTRI Ces villes qui résistent Face à la montée des prix de l'immobilier, plusieurs villes se mobilisent pour préserver des logements accessibles aux petits et moyens revenus, au coeur de leur territoire. Un pari social sans angélisme. L'AVIS DES AUTRES Bobos contre prolos : regards croisés Parce que les premiers sont menacés d'être exclus des villes par les seconds, on a souvent tendance à imaginer une opposition franche et hostile entre « gentrifiés » et « gentrifieurs ». Dans la pratique, les perceptions qu'ont les habitants les uns des autres sont bien moins tranchées.
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