- EAN13
- 9782213684390
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 17/05/2017
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Aide EAN13 : 9782213684390
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Que mange-t-on quand on ouvre une boîte de concentré, verse du ketchup dans
son assiette ou entame une pizza ? Des tomates d’industrie. Transformées en
usine, conditionnées en barils de concentré, elles circulent d’un continent à
l’autre. Toute l’humanité en consomme, pourtant personne n’en a vu.
Où, comment et par qui ces tomates sont-elles cultivées et récoltées ?
Durant deux ans, des confins de la Chine à l’Italie, de la Californie au
Ghana, Jean-Baptiste Malet a mené une enquête inédite et originale. Il a
rencontré traders, cueilleurs, entrepreneurs, paysans, généticiens, fabricants
de machine, et même un « général » chinois.
Des ghettos où la main-d’œuvre des récoltes est engagée parmi les migrants aux
conserveries qui coupent du concentré incomestible avec des additifs suspects,
il a remonté une filière opaque et très lucrative, qui attise les convoitises
: les mafias s’intéressent aussi à la sauce tomate.
L’Empire de l’or rouge nous raconte le capitalisme mondialisé. Il est le roman
d’une marchandise universelle.
son assiette ou entame une pizza ? Des tomates d’industrie. Transformées en
usine, conditionnées en barils de concentré, elles circulent d’un continent à
l’autre. Toute l’humanité en consomme, pourtant personne n’en a vu.
Où, comment et par qui ces tomates sont-elles cultivées et récoltées ?
Durant deux ans, des confins de la Chine à l’Italie, de la Californie au
Ghana, Jean-Baptiste Malet a mené une enquête inédite et originale. Il a
rencontré traders, cueilleurs, entrepreneurs, paysans, généticiens, fabricants
de machine, et même un « général » chinois.
Des ghettos où la main-d’œuvre des récoltes est engagée parmi les migrants aux
conserveries qui coupent du concentré incomestible avec des additifs suspects,
il a remonté une filière opaque et très lucrative, qui attise les convoitises
: les mafias s’intéressent aussi à la sauce tomate.
L’Empire de l’or rouge nous raconte le capitalisme mondialisé. Il est le roman
d’une marchandise universelle.
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