- EAN13
- 9782336455969
- Éditeur
- L'Harmattan
- Date de publication
- 23/05/2024
- Collection
- Ouverture Philosophique
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Orion & Zarathoustra
Dernières nouvelles du surHomme
Jacques Soulillou
L'Harmattan
Ouverture Philosophique
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782336455969
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
14.99
Autre version disponible
-
Papier - L'Harmattan 20,00
Ce livre raconte une fable ; une fable philosophique dont les protagonistes
principaux sont un tableau de Nicolas Poussin peint à Rome en 1658, Orion
aveugle marchant vers le soleil levant, et le Zarathustra de Nietzsche (1883).
De la rencontre de ces deux œuvres exceptionnelles naît le troisième
personnage : le surHomme.
Nietzsche lui donnait un autre nom : le Dernier homme – l’homme qui a «
inventé le bonheur ». Dans le tableau de Poussin, personne ne prête attention
à ce surHomme, pourtant bien visible sur les épaules du géant Orion. Son nom
est Céladion.
C’est qui le surHomme ? C’est vous et c’est moi ; c’est l’Homme devenu «
maître et possesseur de la nature » et qui pèse sur la Terre du fait d’avoir à
porter ce surpoids sur ses épaules.
Comme toute fable, celle-ci a sa morale : pour reprendre possession de son
destin, l’Homme, un moment aveuglé, doit impérativement faire descendre de ses
épaules le surHomme.
Autrement dit, il doit se surmonter – comme s’il devenait surhumain.
principaux sont un tableau de Nicolas Poussin peint à Rome en 1658, Orion
aveugle marchant vers le soleil levant, et le Zarathustra de Nietzsche (1883).
De la rencontre de ces deux œuvres exceptionnelles naît le troisième
personnage : le surHomme.
Nietzsche lui donnait un autre nom : le Dernier homme – l’homme qui a «
inventé le bonheur ». Dans le tableau de Poussin, personne ne prête attention
à ce surHomme, pourtant bien visible sur les épaules du géant Orion. Son nom
est Céladion.
C’est qui le surHomme ? C’est vous et c’est moi ; c’est l’Homme devenu «
maître et possesseur de la nature » et qui pèse sur la Terre du fait d’avoir à
porter ce surpoids sur ses épaules.
Comme toute fable, celle-ci a sa morale : pour reprendre possession de son
destin, l’Homme, un moment aveuglé, doit impérativement faire descendre de ses
épaules le surHomme.
Autrement dit, il doit se surmonter – comme s’il devenait surhumain.
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