Le parti pris des oiseaux
EAN13
9782882506887
Éditeur
Noir sur Blanc
Date de publication
Collection
Littérature étrangère / Voyage
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

Le parti pris des oiseaux

Noir sur Blanc

Littérature étrangère / Voyage

Indisponible

Autre version disponible

La fascination pour les oiseaux qui accompagne l’auteur depuis son enfance
(une maladie qu’il appelle Birding Compulsive Disorder) est devenue un
prétexte pour écrire sur l’art, la littérature, l’histoire et le cinéma. De
quel oiseau-roi Mitterrand a-t-il voulu faire son dernier repas ? Quel est le
lien de l’agent 007 avec l’ornithologie ? À quoi pensaient les oiseaux
d’Hitchcock ? Quel effet l’amour de Jonathan Franzen pour les oiseaux a-t-il
eu sur sa prose ?Bien entendu, l’auteur ne s’inspire pas uniquement de ses
lectures ! C’est un homme de terrain et son texte est nourri de toutes ses
expériences dans la nature, mais aussi en ville.Il y a désormais des millions
de gens qui s’adonnent à l’observation des oiseaux. Pour beaucoup, c’est une
passion dévorante et les cas d’agression, d’évanouissement ou de crise
cardiaque ne sont pas rares sur le terrain. Łubieński n’a encore tabassé
personne, son cœur est heureusement en bon état, mais comme son amour des
oiseaux est tout aussi excessif, il affronte sans se plaindre les conditions
les plus inconfortables, jusqu’à être victime de la « malédiction du bruant »,
un mal qui frappe les amis des oiseaux...Stanisław Łubieński est né en 1983.
Après des études en anthropologie de la culture, il a collaboré à la plupart
des magazines culturels de Pologne. Auteur d’un essai historique sur
l’anarchiste ukrainien Nestor Makhno (Le Pirate des steppes), il a reçu de
nombreux prix pour son livre Douze pies par la queue, dont le prestigieux Nike
dans la catégorie « Choix du public ». Sa passion pour les oiseaux détermine
la plupart de ses voyages, mais aussi son engagement de citoyen. Il vit à
Varsovie, où vient de paraître son nouvel essai : Le livre des déchets, qui
traite de la gestion catastrophique de nos ordures comme d’un problème de
civilisation.
S'identifier pour envoyer des commentaires.