- EAN13
- 9782846815123
- ISBN
- 978-2-84681-512-3
- Éditeur
- Les Solitaires intempestifs
- Date de publication
- 05/07/2017
- Collection
- MEMOIR
- Nombre de pages
- 400
- Dimensions
- 24 x 21,3 x 3,6 cm
- Poids
- 1320 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
’est à Nancy que les festivaliers et la France découvrent le Teatro Campesino, le Bread and Puppet Theatre, Bob Wilson, Tadeusz Kantor, Jerzy Grotowski, Pina Bausch, Terayama, Kazuo Ōno, la Cuadra de Séville, le Teatro Comuna de Lisbonne ou encore le Brésilien Augusto Boal.
De 1963 à 1983, le Festival mondial du théâtre de Nancy, créé par Jack Lang, a bouleversé le paysage théâtral. Surfant sur la vague du théâtre universitaire en Europe, forte au début des années soixante, le Festival allait bientôt devenir mondial et professionnel, parcourant la planète pour faire venir à Nancy les nouveaux talents étrangers, et s’imposant comme un rendez-vous précieux.
Durant deux décades marquées par des guerres, des dictatures, des coups d’État et Mai 68, sans beaucoup de subventions mais avec des hordes de bénévoles dévoués, le Festival fut un foyer du théâtre protestataire, un laboratoire de l’utopie où s’inventèrent des formes de théâtre nouvelles chahutant le primat du texte.
Ce fut le festival de la jeunesse, une folle ambiance faite de rencontres, de liesse et de discussions jusqu’au bout de la nuit. C’était avant le temps d’Internet, des portables et des ordinateurs, le dernier festival du XXe siècle. C’est cette histoire sans pareille, nourrie d’archives et de nombreux témoignages, que ce livre raconte.
De 1963 à 1983, le Festival mondial du théâtre de Nancy, créé par Jack Lang, a bouleversé le paysage théâtral. Surfant sur la vague du théâtre universitaire en Europe, forte au début des années soixante, le Festival allait bientôt devenir mondial et professionnel, parcourant la planète pour faire venir à Nancy les nouveaux talents étrangers, et s’imposant comme un rendez-vous précieux.
Durant deux décades marquées par des guerres, des dictatures, des coups d’État et Mai 68, sans beaucoup de subventions mais avec des hordes de bénévoles dévoués, le Festival fut un foyer du théâtre protestataire, un laboratoire de l’utopie où s’inventèrent des formes de théâtre nouvelles chahutant le primat du texte.
Ce fut le festival de la jeunesse, une folle ambiance faite de rencontres, de liesse et de discussions jusqu’au bout de la nuit. C’était avant le temps d’Internet, des portables et des ordinateurs, le dernier festival du XXe siècle. C’est cette histoire sans pareille, nourrie d’archives et de nombreux témoignages, que ce livre raconte.
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