Chiens : inventaire chromatique réel et imaginaire, Inventaire chromatique réel et imaginaire
EAN13
9782490077939
ISBN
978-2-490-07793-9
Éditeur
B42
Date de publication
Nombre de pages
224
Dimensions
23,6 x 17,5 x 2,3 cm
Poids
616 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Chiens : inventaire chromatique réel et imaginaire

Inventaire chromatique réel et imaginaire

B42

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Chiens rassemble 200 dessins de Jochen Gerner conçus dans la lignée de son étude sur les oiseaux parue en 2021. Usant d’une technique similaire, le feutre à encre de Chine pigmentée sur des cahiers d’écoliers, cette nouvelle série de dessins poursuit l’expérimentation graphique visant à explorer les potentialités de la trame dans la représentation des textures.
De simples formes souples quasi-abstraites, ponctuées de deux ou trois points (œil et truffe), composent les silhouettes de chiens des premiers dessins de cette collection. Poursuivie sur plusieurs mois, elle dresse aujourd’hui un inventaire varié de races canines, réelles, semi-réelles ou chimériques. Le chien, mammifère domestique descendant du loup, décomposé en races multiples issues de croisements et d’évolutions, comporte la particularité de se singulariser par des dimensions, contours, textures et robes aux déclinaisons innombrables : Bouvier bichrome en robe moirée, Braque slovaque à poil dur, Chow-chow électrostatique, Bichon frisé, Lévrier Barzoï à toison sinueuse, Chien d’eau irlandais trouble, Épagneul bleu de Picardie, Scottish-terrier à pelage en épines de conifères, Spitz Mikado…
Trames, traits, réseaux de lignes, nuances, taches et masses, l’espèce offre un catalogue de variations graphiques infinies. Ces dessins, de pensée ou d’observation, ont été réalisés de mars 2022 à avril 2023 sur les fines lignes horizontales et verticales, à carreaux ou millimétrées, de carnets de géométrie chinois ou de cahiers d’écriture de provinces indiennes.
Avec ce nouveau bestiaire tenant autant de l’illustration réaliste que du dessin prospectif, Jochen Gerner nous invite à porter un regard fantaisiste sur le monde et prouve une fois de plus la singularité de l’observation qu’il en fait.
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